Bonjour à tous ! Le dimanche 17 octobre 2004 à 11:27 -0400, Denis Boudreau a écrit :
> Bien que je partage à 100% l'orientation des commentaires de Normand
> laissés plus tôt, je dois me ranger du côté de la raison et supporter
> Catherine dans sa vision des priorités. Commençons par instaurer un
> modèle crédible et ensuite, les prix que nous décernerons risquerons
> d'être doublement respectés et considérés.

C'est évident que sa ne serai pas quelquechose qui serai pour dans deux
semaines. L'instauration d'un tel programme (si il y a) prend beaucoup
de temps et d'énergie. Je suis d'accord avec le fait qu'il faut en
premier faire ce qui est le plus prioritaire, mais je crois que rien ne
nous empêchent à faire des réflexions en même temps sur un tel projet. > En effet, s'il nous est possible d'émettre une certification sur la > qualité d'un développeur ou d'un site, il est impossible d'empêcher > des gens de se l'approprier sans notre consentement

Une solution pourrai d'émettre un certificat (papier) où le nom, prénom
du détenteur, la date d'émission, l(es)' élément(s) pour lequel
(lesquels) il a obtenu cette certification ainsi qu'un numéro de
certificat. Ensuite, il serait toujours possible de faire un système de
vérification sur le site du W3QC où ce que une personne désirant
vérifier la validité d'un certificat puisse le faire, de façon
automatisé (je rentre le numéro et sa me retourne sur le champs les
informations correspondantes) ou manuelle (où la personne devra
s'identifier de façon adéquate et où nous ferons le travail de lui
confirmer (par courriel) si le certificat est bel et bien valide. ) > ou pire encore, que des gens ou des sites que nous aurions certifiés > souffrent d'un laisser-aller qui auraient un impact négatif sur la > crédibilité de notre certification.

Personnellement, j'aurais pensé à une certification qui dit que la
personne ayant obtenu la certification est « apte à utiliser de façon
adéquate » l'élément pour lequel il a reçu sa certification. Ceci n'est
pas un gage de qualité, du style ISO9001, ce n'est qu'une reconnaissance
qui permet d'identifier qui est « apte ». Oui, sa n'empêche pas une
personne de «botcher» par la suite, comme sa n'empêcherai pas un médecin
de laisser son cellulaire dans le corps d'un patient quand il l'opère
(ce qui est un flagrant manque de professionnalisme). En fait, une
solution que je vois serai de bien expliquer ce qu'est la certification
(toujours si il y a) sur le site et d'expliquer clairement ce qu'est
cette certification. Même que nous devrions ne pas appeler sa une
certification mais une reconnaissance. -- Xavier Jacques Côté