En cours de développement – Version brouillon : Si vous désirez y participer, allez-y , ne vous gênez pas trop ! Il y a beaucoup de corrections, modifications et de précisions à faire, mais c’est un premier jet… question d’être le premier à se jeter à l’eau ! Si vous avez des commentaires, n’hésitez pas !

Internet, c’est connu pour être une jungle où on peut trouver n’importe quoi. Le réseau des réseau est très populaire, surtout pour ce qui est des différents moyens de communication (courriel, «chat», messageries instantanées, etc..) ainsi que pour ce que tout le monde nomme les sites web. Comme vous le savez tous, les sites web sont en fin de compte constitué à l’aide d’un langage nommé l’HTML.

Comme toute langue, l’HTML a son lexique, ces règles de syntaxe et de grammaire. Cependant, l’écriture du langage HTML sans erreures syntaxique n’est pas une priorité pour beaucoup de personnes, ce qui est normal car contrairement à certain langage de programmation compilés où il est impossible de compiler un programme où il y a une erreure dans le code source (Exemples : Java et C/C++), beaucoup de navigateurs peuvent interpréter un HTML «buggé».

Maintenant, imaginez que la langue Française n’ait aucune règle de grammaire ! Imaginez-vous ne plus à devoir vous poser la question «Vendu» ou «Vendre» pour savoir si un mot se termine par un «er» ou un «é». Vous savez comme moi qu’une telle situation serait difficile à tenir ! Et pour mettre la cerise sur le gâteau, imaginez si une personne qui parle une autre lange et qui veux apprendre le français, si on lui montre que à chaque fois, qu’un mot finit en «er» ou «é», on met systématiquement un «é», alors que dans une autre école, on lui dit de mettre un «er». Vous riez, mais c’est sa qui se passe avec l’HTML! Heureusement, un organisme indépendant, le W3C, a formé des règles, des standards, afin de rendre l’HTML pareil partout, afin de mettre fin (au moins… de réduire) à cette situation.

Mais pourquoi un tel standard quand MA page ou MON site s’affiche bien dans Internet Explorer ?

La raison est simple : il n’y a pas qu’Internet Explorer dans le monde. Bien que ce navigateur détient la pole position dans le monde pour le nombre d’utilisateur, il est important de savoir qu’il n’a pas qu’ Internet Explorer. Mais qui sont ceux et celles qui utilisent d’autre choses qu’ Internet Explorer ? En premier, je vous rapelle que Microsoft, la compagnie qui est derrière Internet Explorer vend des systèmes d’exploitation. Bien qu’il existe une version pour Mac, Microsoft est très réticent quant à l’idée de rendre leur navigateur compatible avec les autres systèmes d’exploitation… qui sont concurents. Une autre raison : ce n’est pas tout le monde qui aime Internet Explorer. Ce n’est pas pour rien que des navigateurs comme Mozilla, Firefox, Opera, etc… deviennent de plus en plus populaires (et je ne parle que pour les fonctionnalités).

Une autre raison pour normaliser nos pages web est pour aider les robots. Évidement, ce ne sont pas des humains qui répertorient les millards de pages web qui sont sur la toile. C’est la tâche de différents robots (comme GoogleBot ). Cependant, les robots n’utilisent pas Internet Explorer, et n’observent pas si le site est beau ou pas. Ce qui compte, c’est le contenu de la page… écrit en HTML ! La normalisation permet donc de s’assurer que ces robots vont être en mesure de comprendre ce que nous écrivons.

Finalement, vous comprendrez que normaliser est surtout plus un gage de qualité, une sorte de norme ISO ! En plus, l’utilisation de cette norme est gratuite ! Alors pourquoi s’en passer ?

Bon, alors par où commencer ?

La première chose à faire lorsqu’on veut normaliser une page, c’est de vouloir commencer. Pourquoi je dit ça ? La raison est simple, c’est que pour y arriver, ça prend un peu de volonté et un effort constant, qui passe de la normalisation des différentes pages qu’on fait au début, mais aussi de normaliser dans le futur quand on met à jour notre site, soit manuellement, soit par un système de mise à jour automatique (avec un CMS par exemple). À cause de cette dernière considération, il est donc important de voir l’étendue du travail à accomplir et à ne pas le voir comme une montage, si le site à normaliser est très complexe et comporte beaucoup de pages, mieux vaut y aller étape par étape.

Le squelette de nos pages

Pourquoi je commence par cette section? C’est, à mon avis, une qui est la plus importante et que dans certains cas, la plus rapide à faire. Beaucoup de personnes utilisent un système où les pages sont générées depuis un certain modèle (comme les CMS). Ce modèle fixe les éléments qui ne changent pas. Et ce que je nomme le «squelette» de la page est généralement la partie entête d’une page ( le …), le pied de page et certains éléments fixe comme par exemple les éléments qui forment le concept général du site. Pour ce qui est de l’importance, nous définissons les balises méta ( ) qui permettent de paramétrer votre page.

L’entête

Le Doctype

En premier, nous allons se pencher sur le fameux «doctype». Cette balise quelque peu étrange permet de définir un peu «quelle sorte d’HTML nous utilisons». Comme pour les automobiles, un fabricant peut avoir plusieurs modèles qui ont pourtant le même but : permettre de ce déplacer. Chaque modèle a ses avantages et inconvénients, tout dépendant de l’utilisation que nous voulons en faire. Ici, c’est la même chose, il existe plusieurs «sortes» d’HTML, mais afin de ne pas rendre les choses plus compliqués qu’elle le sont, nous allons nous concentrer sur ce qui est le plus utilisé et qui est le plus simple, c’est à dire la norme «HTML 4.01 Transitional». Pour rester simple, ajoutez sur la première ligne cette balise :

Le Head

Peux de choses sont à retenir de la balise head, excepté la possibilité d’ajouter un attribut qui est la langue du document.

Permet d’indiquer que la langue du document est le français.

Les balises méta

Les balises méta sont des balises qui permettent d’identifier les paramètres de votre page.

Pour une description plus précise et une meilleure localisation des documents, les balises méta peuvent aussi servir à décrire un document « bibliothéconomiquement ». Les champs appropriés seront alors décrits en utilisant les normes bibliothéconomiques du Dublin Core (http://dublincore.org). Par exemple, pour signifier l’éditeur d’un document, nous pouvons utiliser :

Vous trouverez la liste complète des termes ici: http://dublincore.org/documents/dcmi-terms/

( Rendu ici, à compléter )